Arcoro Ganto était resté un long moment dans sa cabine à pleurer sur son passé. Son argent, dont il ne lui restait moins de 20 000 dollars ; ses centrales, dont presques tous les employés se sont suicidés, enfuis ou morts de la mort invisible et sa villa, magnifique de surcroit, ui avait le mérite d'être des plus belles d'Espagne.
Ganto avait faim. Il ne pouvait pas rester dans sa chambre assi sur son lit à rêver. Il se disait que maintenant, il était aussi pauvre que n'importe qui, qu'il était peut-être temps d'avoir une vraie vie sociale. C'est donc une nouvelle vie qui allait s'ouvrir à lui au moment où il allait ouvrir les portes du grand restaurant.