Les premiers préparatifs.

Oh pour mon vaisseau ne vous inquietez pas ce vieux tas de boulot tiens la route et c'est meme le plus rapide de la galaxie !
Ne vous fiez pas au apparance...

Pour ce qui est de l'instalation, à ces mots Xanto tapota sur l'armure de son avant bras droit et un ecran holographiste apparraissa ; on pouvait y voir a l'ecran un humadroide...

C21 preparez mes affaires et installer au plus vite mon bureau s'il vous plait, demander a C32 de vous aidez...

"Bien Professeur et que doit-je faire du C14 qui est en construction ? Et pour ce qui est du fossile qui est dans l'incubateur ?"

Laissez ca de cote ce n'est pas le plus urgent...

Xanto se tourna vers le colonel Oromis :
Bien voula qui est regler tout sera pres dans l'heure !

Nicos se retourne violament vers Skraker.

En quoi vous vous permettez de me donner des ordres ?!

Je vous en prie, vous ne me connaissez pas ! Vous ne savez pas qui je suis !

Je suis bien plus important que vous, qui n'êtes qu'un moins que rien !

Je ne bougerais pas d'ici tant que l'on ne m'a pas fait inscrire sur ces listes !

Et ne tendez pas d'utiliser la force...

Il tira de son pantalon un blaster G2, à tir laser à visée thermique. Ses gardes firent de même mais sortirent la gamme au dessus, blaster G3, double laser à visée thermique.

Oh Oh sa sent pas bon ca...

Xanto enclencha son bouclier magnétique a l'aide de sa commande sur son bras droit.

Et me voula a l'abri... Moi je file j'ai du boulot, excusez moi...

Xanto pris en vitesse des dossiers et un chariot et partit pour son bureau

Voyant les choses s'envenimer, Skraker profite de ce que Nicos regarde Weolyn pour sortir son Desert Eagle 666, charger une balle plastique dans le lance projectiles et tirer, le tout en quelques secondes à peine.

La balle frappe violemment la main du PDG de Bullis, lui tirant un cri de douleur et envoyant valser son arme.

Sans plus d'attention pour l'arrogant personnage, Skraker s'adresse à Weolyn.

Et maintenant, général, que faisons nous ?
Nous ne pouvons le laisser partir, il reviendrait à la tête d'une armée.

Une petite cellule mécanisque flottante s'approche de Skraker et un écran s'affiche :

Ecoutez je crois que l'on ne peut pas laisser en liberté des gens dangereux comme cela et les faire partir pourrait etre sage sauf s'il revient en force...

Alors je vous propose une cellule d'emprisonnement magnétique qui servira de piége, une sorte de piége laser en quelque sortes...

Personnes ne peut en sortir et revanche seule une personne avec une combinaison adéquate et un passe peut y entrer...

Si vous avez besoin je suis dans mon labo et je vous bricole ca au lus vite !

Oromis, rengeant son blaster, s'approche de l'homme, et éloigne son blaster G1, gisant à terre, d'un coup de pied.

Il se tourna ensuite vers le droïde de Xanto.

Professeur, je vous prierez maintenant de vous adresser directement à nous tant que vous n'êtes pas en pleine recherche.

Il se tourne vers Weolyn.

Il faudrait l'enfermer dans l'une de nos cellules militaire sur la planète.

Le problème, c'est qu'un homme de cette importance doit avoir beaucoup d'alliés, parfois des hommes importants aussi.

Même en l'enfermant nous aurons des problèmes maintenant.

Nicos avait la main en sang, dû à la vitesse de la balle plastique lancée par Skraker.
Il regarda un instant ses hommes par terre et s'agenouilla pour se rendre compte qu'ils étaient mourrant, l'un avait une balle dans le ventre, l'autre dans l'épaule gauche.

Appellez des médecins !

Il se releva.

Vous n'avez pas le droit messieurs ! Vous n'avez pas le droit !

Allez y, mettez moi en prison, faîtes le !

Il prit plus d'ampleur, et surpassa sa douleur en se mettant à la hauteur de Weolyn.

Oui, je suis le chef d'entreprise qui a construit et installé ces magnifiques bulles. Sachez que grâce à moi, près de 2 milliard de personne peuvent vivre comme sur une nouvelle planète, grâce à celles-ci. Toute ma génération, mon arrière-arrière grand père a fait ces recherches pour ces dômes, mon grand père les a terminées et a commencé à les construire, mon père a fini le boulot avec lui et me voilà, moi, héritant d'une magnifique entreprise, qui a la vie de 2 milliard de personne entre ses mains.

Ce serait vraiment trop domage qu'un malheureux incident provoque la mort de 2 milliards de personnes...

On put lire un sourire à ses lèvres.

Weolyn ne se laissa pas démonteret répondis a Nicos.

Monsieur, cela ne me concerne que peu, nous ne sommes pas ici pour faire de la politique, et vos menaces, ne me touches guerre.
Vous avez menacer de vos armes nos hommes et vous récoltez ce que vous avez semer.

Commandants Skraker surveillez cet homme. Commandant Roa, faites mettre aux arrèt ses hommes et faites-les soigner, sous bonne garde.

Il leva ensuite le poignet et activa son intercom:

Donnez-moi une liaison avec l'Amiral Faren, et vite!

Dés qu'il eu la liaison:

Amiral Faren, nous avons un petit problème sur l'astroport et nous avons du mettre a l'arrêt certaines personnes.
J'aurai besoin de votre avis en ce qui concerne le Sieur Nicos, car je pense qu'il serait dangereux de le mettre aux arrêt, et qu'il serait une menace pour grand nombre.
Que dois-je faire de lui?


(HJ: Je ne peux pas avoir blesser ses hommes, vue que c'est un paralysant, ils ne devraient être que dans les pommes.HJ)

Le droide de Xanto se tourne vers Oromis :

Bien Colonel, j'ai fini l'installation de mon bureau, maintenant je pourrait enfin vous voir pour de vrai, en face car je ne voulais pas perdre de temps de le travail. J'ai horreur de perdre du temps avec chaque secondes perdu représente du temps perdu pour la recherche...

Pour se qui est du blesser j'ai un medipack dans mon vaisseau si vous voulez et je peut reprogrammer un de mes droides pour faire un assistant pour les médecins si besoin...

Voix Crypter : "Déconnection"

Puis le droide se repliat et partit en direction du labo de Xanto

A vos ordres, mon général.

Skraker fait signe à un médecin lieutenant d'approcher.

Soignez la main du sieur Nicos.

Pendant que le médecin soigne le PDG, que deux soldats ont forcé à s'assoir après l'avoir fouillé, Skraker s'adresse à lui.

Je compte sur votre coopération pour ne pas envenimer les choses, monsieur.
Juger un cas de votre envergure relève de l'amiral Faren en personne.

HJ Oups, j'avais mal lu ton post, Weolyn, et même je me demandais pourquoi tu tirais sur eux avec des balles ^^ C'est pas grave, on dit que c'était des balles, cela n'aura aucune répercution sur ta popularité. Ils sont blessés par balle. HJ

Nicos :

Vous l'aurez voulu ! Je me vangerais !

Il se laissa tout de même fouiller et s'assit.

Faren :

Ah bon ? Nicos est dans mon vaisseau ?

On aurait quand même pu me prévenir plus tôt !


Il se pencha sur son micro et chuchotta à Weolyn, qui était le seul à entendre ces paroles :

Hum... écoutez... Maintenant que nous tennons ce petit sal... Euuh... Cet énergumène... Enfin vous me comprenez... Un incident est si vite arrivé...
...Enfin... Une balle et on n'en parle plus... et on s'arange pour maquiller l'affaire... Hum...

Pendant ce temps, Skraker converse avec Nicos.

Monsieur Nicos, nous honorons le travail de vos aïeux, mais l'amiral Faren est maître à bord de son vaisseau.

Vous le connaissez ?

Nicos, une fois soigné, fut emmené vers Weolyn. Le lieutnant s'adressa à celui-ci :

Sa cellule est prête, je vous le confie et retourne à mon poste.

Après une mise au garde à vous, il s'éloigna.

Skraker regarde Weolyn.

Avec votre permission, je me chargerais de l'escorter.

Description de l'escorte et les actions que vous effectuerez à faire ici ou par MP (selon si vous voulez que ça se sache ou pas par les autres joueurs).

Alors que le calme semblait retrouvé du côté du bureau N°10, une frégate de guerre lourdement armée pénétra dans l'astroport.

Le blanc immaculé de sa coque orné d'une croix templière rouge ne laissait pas de place au doute, il s'agissait d'une frégate de la Papauté.

Elle prit place sur le quai 18 qui venait d'être dégagé à cet effet.

Quelques instants plus tard, le sas s'ouvrit. Une douzaine de templiers en armures lourdes, également blanches et réhaussées de la croix rouge Papale, en sortirent et se placèrent autour du vaisseau en position de protection.

Ces unités d'élite de la Papauté avaient été recréées à l'occasion de la reprise des guerres de religion et des croisades. Rares étaient ceux qui les avaient vues en action et pouvaient encore en témoigner, leurs derniers faits d'armes ayant été l'anihilation des clones en Afrique, elles inspiraient crainte et respect à la fois... Sentiments que contribuaient à donner leurs armures impécables et leurs capes blanches venues d'un autre âge tout autant que leurs fusils à plasma de dernière génération.

Peu après le déploiement de l'unité d'élite, une petite procession descendit de la Frégate.

Le gratin de la papauté venait de poser le pied sur Utopia. Cardinaux, Vicaires, Inquisiteurs et Evêques ouvraient la marche, promptement suivis par quelques personnalités importantes de la vie publique Vaticine: journalistes, scientifiques reconnus, philosophes...

Vint alors le tour des membres du Sénat de la Papauté de descendre la rampe d'accès. Ils n'étaient qu'une demi-douzaine à avoir obtenu le privilège de faire partie du projet Utopia... Parmis eux, sortant en dernier, une frêle jeune femme à la peau de nacre portant un châle de velours brun et une longue robe de même tissus.

A son apparition, une rumeur monta de la foule qui, pressée dans l'astroport et attendant devant les guichets d'accès du vaisseau, observait avec attention la descente de la délégation Papale...

"Assylia !... C'est Assylia Borgia !... Je la reconnais..."

Si la renomée de la jeune femme semblait importante, elle dégageait toutefois une grande humilité. Aux quelques appels qui s'élevèrent de la foule, elle se contenta de répondre par un petit signe de la tête ou de la main, remerciement personnalisé et discret à l'attention d'un peuple en manque de considération.

Après son passage, déscendirent des entrailles de la frégate nombre de personnels techniques et de service ne représentant pas le moindre intérêt.

Lors que les membres de la délégation Papale se dirigeaient vers les différents guichets où ils seraient pris en charge, Assylia, elle, s'orienta rapidement en direction du bureau N°10. Un homme lui emboitait le pas, probablement un garde du corps comme pouvait en témoigner son attitude alerte et la légère bosse qui déformait son aisselle gauche sous son splendide costume de lin provenant à n'en pas douter d'un grand couturier Européen.

Arrivée au bureau, Assylia tendit sa carte délicatement et prit la parole. Sa voix était douce, presque faible dans ce brouhaha ambiant, mais l'hotesse qui l'accueillait l'entendit parfaitement:

"Bonjour mademoiselle, je suis Assylia Borgia, Sénateur de la Papauté, et voici Luigi Crésus mon secrétaire particulier..." Ajouta-t-elle en désignant de sa main fine le grand brun taciturne qui se tenait à côté d'elle. L'homme sortit également une carte d'identification et la tendit à l'hôtesse.

Après un instant de silence, Assylia reprit:

"Je crains que nous ne soyons un peu en retard pour la réunion qui était prévue avec l'amiral, aussi vous serais-je particulièrement reconnaissante si vous pouviez me faire escorter à mes appartements puis prévenir l'amiral de mon arrivée afin d'organiser une entrevue."

Bien mademoiselle.

Veuillez me suivre, je vais vous conduire dans son bureau, il est en conférence avec le général Weolyn, mais vous recevra sous peu.

Cette femme se leva de son siège, et s'adressa à une collègue.

Peux-tu me remplacer au recensement quelques minutes s'il te plait, je dois conduire Mademoiselle au bureau de l' Amiral.

Puis elle sortit de sa petite pièce de verre pour accompagner la délégation.


HJ

Suite du post, dans le forum des scientifiques, j'ouvre un topic.

HJ

Assylia se tourna vers Luigi et lui dit en Italien:

"Veuillez vous occuper de faire parvenir mes affaires dans ma suite et d'y faire installer mon bureau, je vous rejoindrai là bas."

Elle suivit ensuite l'hôtesse, d'un pas léger mais décidé:

"C'est vraiment très aimable à vous de bien vouloir me guider... C'est réellement immense ici, je vais avoir besoin d'un peu de temps avant de parvenir à m'orienter dans ces couloirs..."

Les bureaux de recensement sont désormais fermés.

Toute la population du vaisseau est au complet.

Utopia 1 est opérationnel.



HJ

S'il y a des nouveaux joueurs, ils seront considérés comme des rescapés, qui sont admis sur Utopia 1.

HJ

Le commandant Tyfren était en effet très satisfait de son élève.
Cela faisait déjà plus de 8 mois que Roa apprenait à piloter et il révélait des talents cachés.

Il pilotait admirablement bien et s'en sortait très bien dans les situations les plus difficiles.

Après un essai de tir dans l'espace, Roa sortit du petit vaisseau d'entrainement de troupe pour ensuite être interpelé par le commandant Tyfren :


Bravo, encore un entrainement réussit avec succès.

Je pense que d'ici 1 moi vous serez prêt à piloter de gros vaisseaux tels que les croiseurs.

Vous aurez donc fait 9 mois de pilotage pour atteindre le niveau d'un pilote qui a fait 5 ans de pilotage, votre nom ne sera pas oublié de si tôt.