Inspection de la Flotte "Futuria"

Weolyn arrivant sur l'astroport, chercha des yeux ou se trouvait ses vaisseaux et ne tarda pas à les repérer, vue les grandes lettres qui avait étaient peintes sur le flanc des vaisseaux.

On y voyais clairement sur la Frégate, écris "Futuria 1" et sur le Destroyer "Futuria 2".
Il se dirigea aussitôt vers la Frégate et se présenta au soldat qui se trouvait près du sas et qui contrôlais les aller et venues.

Soldat prévenez le Commandant que le Chef Weolyn veux inspecter le vaisseau.

Je vais immédiatement chercher les Amiraux, monsieur.

Il partit quelques minutes pour revenir avec deux hommes, tous deux habillés d'un costume militaire bleu foncé, agrémentés de couleurs et médailles, désignant ainsi leur haut grade.

Il se mirent en même temps au garde à vous devant leur supérieur.

- Amiral Risk, de Futuria 1, à vos ordres.

- Amiral Jusyk, de Futuria 2.

Voulez vous inspecter votre flotte ainsi que son équipage, monsieur ?

Weolyn les saluas d'un salut militaire.

Repos messieurs. Oui je suis venu dans ce but, j'aimerais connaitre le personnel et les vaisseaux avant de devoir m'en servir, c'est la moindre des choses.
J'aimerai faire connaissance avec vous et avec le personnel des deux vaisseaux, pour bien travailler ensemble, il faut se connaitre.
Si vous voulez bien me faire visiter!

_ Nous allons réunir nos hommes chef Weolyn. Nous procéderons à la visite des navires dans un deuxième temps.

Ils partirent chacun de leur côté parlant à plusieurs soldats.

Weolyn les laissa prendre leur temps, et se promenais le long des vaisseaux entretemps, en observant la coque de ceux-ci et en inspectant le fuselage, tout en se promenant, en attendant que les deux commandants reviennes le chercher.

/Ils m'ont l'air compétant, j'espère que nous pourrons travailler correctement ensemble./

On entendit alors un brouhaha dans l'astroport, tout l'équipage ainsi que les gradés des deux vaisseaux étaient sur la rampe et s'entassaient.

GARDE A VOUS !

En un instant, ces groupes qui s'étaient formés sur la rampe d'arrimage se disloquèrent et une ligne se forma.
Des dizaines et des dizaines de soldats tous vêtus d'un bleu foncé étaient parfaitement alignés devant le Chef Weolyn, au garde à vous.

Les Amiraux accompagnèrent Weolyn, l'escortant chacun des deux cotés.

Ils marchaient le long de cette immense muraille humaine, les amiraux présentant tour à tour leurs soldats au Chef Weolyn.

Entendant un grand bruits de pas, Weolyn se retourna et vis les soldats et gradés des deux vaisseaux, se bousculer et enfin se mettre en rang.
Il observa la scène sans sourciller et approcha tranquillement des deux Commandants de vaisseau, et les suivis ensuite le long de cette chaîne humaine.
Weolyn salua chaque personne lui étant présentée, même si il ne pu pas retenir toutes ses présentations d’un coup, il y avait bien trop de monde.
Mais il n’oublia pas de saluer chacun, avec un sourire, tout en inspectant la personne et la tenue.

Les personnes dont il s’imprima au mieux le visage étaient celle avec lesquelles il aurait à faire le plus souvent, c'est-à-dire les hauts gradés, et les gens du poste de commandement.

Il continua à suivre les deux Amiraux, attendant patiemment d’avoir fait le tour des présentations, afin de pouvoir ensuite visiter les deux vaisseaux.

L'Amiral Grasset était un homme d'une trentaine d'année, beau, populaire, avenant et caractériel, parlait d'une voix assurée.

_ Voici le lieutenant Sauvadet, Il est chargé du bon fonctionnement des radars et des tourelles supérieures.

L'homme gonfla le poitrail et dit d'une voix forte.

_ C'est un honneur d'être sous vos ordres, Chef!

C'était le dernier des gradés des deux vaisseaux. Ainsi, l'amiral Grasset le conduisit jusqu'au premier vaisseau, accompagné de tous les gradés de ce dernier. Ils entrèrent par le Sas principal qui donnait sur des salles vides.

_ Nous voiçi dans les pièces de débarquement et d'abordage. Elle sont renforcées par trois plaques d'acier croisées. Ainsi, nos hommes n'ont que trés peu de chance de mourir suite à une slave ennemi. Nous allons passer dans les quartiers des soldats...

L'amiral semblait être un trés bon officier, compétent, sur de lui, et bien renseigné sur son les capacités de son vaisseau.

Weolyn salua, toutes les personnes qu’on lui présenta, et eu une parole de politesse pour chacun d’eux, Tout en leur souriant et restant le moins militaire possible.
Lorsque Sauvadet eu finis sa phrase :

Lieutenant, cela m’honore grandement, mais restons simple tant que je ne fait que passer vous voir pour faire connaissance, oublions un peu le protocole.

Se tournant vers les autres personnes qui les suivaient :

Cela est valable pour tous, la rigueur militaire nous seras utile lorsque nous devrons sortir et faire notre travail, mais pour le moment profitons de ce peu de calme, et soyons un peu moins.............. militaires.

Tout en parlant ils avaient pénétrer dans le vaisseau, et Weolyn regarda autour de lui en inspectant les salles :

Amiral Grasset, puis-je savoir de combien d’hommes vous comptez abriter par salle comme celle-ci, j’espère qu’ils ne serons pas trop entasser !
Outre le personnel du vaisseau, il faut compter que nous ayons d’autres invitées et il leur faudra de la place, cela as-t-il était pris en compte ?

Le gradé regarda un moment le chef Weolyn ne semblant pas trop comprendre où voulait en venir son supérieur. Néanmoins il répondit avec autant de franchise qu'à son habitude.

_ Les salles de débarquement peuvent acceuillir en toute sécurité 250 hommes selon les normes de sécurité exigées. En ce qui concerne les invités, je commande une frégate chef Weolyn pas un destroyeur ni un navire de plaisance. Il n'y a ni confort, ni place pour des invités civils à bord. Seul l'équipage est pris en compte.

C'est a la réponse de l'amiral que Weolyn se rendis compte qu'ils étaient dans la frégatte et non dans le destroyer, il avait totalement fait abstraction de ce qui l'entourait pendant la présentation et s'était concentrer sur les gens qui lui étaient présenter.
Un peu surpris et gèner:

Désolé, Amiral, mais je ne me suis pas rendu compte que nous étions sur la frégattes, j'étais tellement occuper a tenter de suivre les présentations de tous vos hommes.
Naturellement ce ne seras pas vous qui aurez a promener les invitées.
Mais continuons notre visite, il me semble que ce bâtiment a été bien conçue.

L'amiral Grasset haussa un sourcil durant une seconde, se demandant ce qu'il se passait dans la tête de son supérieur. Heureusement, il ne voulut pas aggraver la situation et fit abstraction de tout commentaire sur l'aciduité de son chef de section. Il l'invita à entrer dans l'aile de commandement. C'était une plateforme sphérique située au plus haut du vaisseau, pourvue d'un dôme en blindinium, permettant une vision à 360°. Une trentaine de sièges donnaient sur un impressionant complexe informatique.

_ Nous voici au centre de commandement. C'est de cet endroit que je dirige les maneuvres manuelles. Le dôme est fait de blindinium pouvant résister à la plupart des assauts. Un système de guidage automatique vient d'être rajouté, mais je ne l'es pas testé... ne pouvant ainsi définir son utilité tactique durant un combat.

Weolyn observa le dôme et les instruments s’y trouvant, et a la dernière réflexion de l’Amiral :

Il faudra le tester rapidement, avant que ce ne devienne une nécessitée. Faites déjà contrôler tout le système, il ne faut courir aucun risque, la sécurité d’Utopia en dépend.

Ayant observer l’Amiral et ayant aperçu comme un étonnement sur son visage, il lui fit signe de s’approcher et parla a voix basse :

Amiral, vous n’êtes pas sans savoir qui a pris le contrôle sur Utopia, Faren a du le céder a Mill, et cela ne me plait guerre, ce diplomate nous a en horreur, et ne travailleras avec nous que par nécessité.
Faites vérifier tous le vaisseau afin d’être sur que tout est en bonne état, et tenez le vaisseau prêt a tout moment, l’ambiance sur Utopia n’est pas vraiment idéal et nous risquons d’avoir du travail dans peu de temps, je le crains.

Puis reprenant un ton normal :

Très bien, je pense que nous ferons du bon travail avec un tel vaisseau, si nous allions a présent faire un tour sur le destroyer, j’aimerai bien le visiter aussi, faites préparer une navette.

Très bien, nous testerons ce système dans peu de temps et nous ferons une re-vérification de notre système.

Après avoir appelé une petite navette, les deux hommes purent se diriger vers une immense masse de métal, qui n'était rien à coté de Utopia.

Vous voici à bord du Futuria 2, chef weolyn.

Ils entrèrent dans une immense salle, comme pour la frégate, la salle de débarquement.

D'une contenance de près de 500 hommes, elle est spacieusement aménagée pour tout un équipement militaire.

Il passèrent ensuite dans les salles des machines, les dortoirs, les différentes salle de réunion et arrivèrent dans la salle des torpilles.

Voici la salle des torpilles.

Bien que son nom soit rustique, cette salle a toujours gardée ce nom, quelque soit son armement.

Nous possédons donc dans cette salle, en plus de nos 100 tourelles et 10 silos lances missiles, un puissant armement laser, qui met certes du temps à se charger, mais fait du dégât, j'ai nommé le L-846.

Ils était devant cette énorme masse de métal, composée d'engrenages de tous les cotés, de plaques de métal et d'un petit noyau central, qui brillait de sa couleur rouge.

Weolyn suivant l’amiral Jupio, n’avait poser aucune question et c’était juste contenter de bien observer toutes les salles qu’ils avaient traversées.
Dans la salle des torpilles il ouvrit la bouche pour la première fois :

De combien de temps faut-il pour armer ce laser ? Et combien de temps entre deux tirs ? Quelle est sa portée ?

La question était simple, mais cela serait sûrement utile de savoir cela au cas ou il faudrait se battre à l’avenir, et Weolyn, de part les postes qu’il avait occupé dans le passé, ne connaissais pas cette arme.

Sans attendre la réponse :

De quel genre de missiles disposons-nous, et en quelle quantité ?

Question purement militaire, démontrant que Weolyn était plus un homme de terrain que de bureau.

Le laser se recharge en 20 secondes (HJ: 1 tir tous les deux tours).
Sa portée est de 300 mètres.

En ce qui concerne nos missiles, ils sont de types T965.2 solaires à tête chercheuse. Leur explosion neutronique peut arriver à percer la coque d'un vaisseau lourd.

Notre armement est sûr et de dernière technologie, chef.

Weolyn , fit un signe de la tête, et avait l'air satisfait de ce qu'il venait d'entendre, mais une ride se faisait sur son front, chose assez rare, car il n'avait pas pour habitude de montrer ce qu'il pensais ou ressentais, quelques chose devait vraiment le tracasser.
Après quelques instants:

Très bien, Amiral Jupio, allons voir le centre de commande, ensuite je désirerais vous parler, a vous et a l'amiral Grasset, au calme, certaines choses me préoccupe et j'aimerai m'en entretenir avec vous deux, et peut-être plus tard avec les autres personne de haut rangs des deux vaisseaux.
Mais vous pouvez déjà l'ordre de réviser toutes les munitions et les appareillage du vaisseaux, je tiens a ce que tout soit contrôler et vérifier.

Il se tourna vers le sas de sortie, pour montrer qu'il n'était pas utile de demander pourquoi cette inspection, pour le moment.

Bien monsieur.

Ils montèrent des escaliers d'acier pour ensuite arriver au pont inférieur, et prirent l'ascenseur pour monter directement au centre de commandement.

Une spacieuse salle remplie de pilotes, de techniciens et d'ingénieurs se présentait devant eux.

On pouvait voir au fond de celle-ci une immense vitre blindée qui donnait un panorama de 180°.

Vous voici donc au centre de commandement de votre Destroyer, Chef Weolyn.

Agrael était essoufflé de chercher Weolyn partout. Il parla à un des militaires !

Ha, je n'ai pas le temps de beaucoup parler donc voici l'autorisation de l'Amiral pour avoir quelques militaires sous mon commandement. Donc voilà Dites le à Weolyn et si celui lui pose problème dites lui de venir dans mon bureau.

Agrael parti en grandes foulés

HJ:: Désolé mais c'est nécessaire!

Agrael, si tu lis bien le poste précédent le tiens, je ne suis pas sur l'astro-port mais sur le destroyers, qui se trouve a l'extérieur d'Utopia!
Je ne peux donc pas t'entendre et tu ne peux pas me voir!

/hj::

Weolyn entra dans la salle et fit aussitôt un signe de la main à tous les présents, leur intimant de ne pas se déranger par son arrivée.
Il se dirigea vers la vitre et jeta un regard circulaire au dehors, avant de se retourner face à l’Amiral :

De NOTRE Destroyer, Amiral, il est autant à vous et vos hommes qu’a moi, je saurais pas m’en servir sans vous et vos hommes.

Il se promena un peu partout et observa les diverses commandes et écrans, souriant a chaque fois a la personne se trouvant assise devant, tout en les saluant d’un mot au passage.
A un moment un jeune officier fit mine de se lever à son approche, et Weolyn lui mis aussitôt la main sur l’épaule, le faisant reprendre place :

Pas de ça, nous ne sommes pas en état d’alerte, et le protocole peut bien attendre que cela devienne vraiment nécessaire.

Il rejoignit ensuite l’Amiral :

Pourrions-nous trouver un endroit au calme a présent afin de pouvoir parler au calme, vous et l’Amiral Grasset, pour commencer, nous avons un tas de choses a voir ensembles.
Ma future cabine par exemple?

Très bien monsieur.

Mais je pense que une salle de réunion est bien plus appropriée, suivez moi.

Après avoir traversé la salle des commandes, ils ne firent que quelques pas pour se trouver dans une grande salle vide, ne comportant que un immense table et une dizaine de chaises tout autour.

Désolé, l'endroit n'est pas très décoré, mais je pense que c'est le meilleur endroit pour discuter à l'abri des oreilles mal attentionnées.

Weolyn jeta un regard dans la salle:

Cela conviendras, pas besoin de fioritures, nous ne sommes pas dans un palais.
Prenez place messieurs.

Il se dirigea vers une chaise au milieu de la table, et pris place,montrant de la main les deux chaises en face de celle qu'il allais occuper. attendant que les deux personnes ai pris place a leur tour, puis il entama de suite la conversation.

Messieurs, je tiens a vous dire que je suis pas vraiment content de ce qui se passe sur Utopia pour l'instant, l'Amiral a des problèmes et c'est le Vice-Amiral qui a l'air de prendre les commandes, ce qui ne me réjouis pas.
Les politiciens ne faisant jamais bon ménage avec les militaires.

Il fit une pause et repris après quelques instants:

Je voudrais que vous fassiez inspecter a fond nos deux vaisseaux, aussi bien ce qui concerne le lieux susceptible de cacher quelques chose, que tous les systèmes des vaisseaux, on n'est jamais assez prudent.
Instaurez aussi une vigie qui ne laissera passer que les personnes ayant autorisation soit de votre part, soit de la mienne, et de personne d'autre, je dis bien personne.

Il observa les deux Amiraux, un moment avant de continuer:

Je vous prie de m'excuser de vous poser cette question, mais c'est nécessaire pour la sécurité des vaisseaux et d'Utopia:

Connaissez-vous bien vos hommes, et avez-vous confiance en chacun d'eux?
Si vous avez des doutes sur l'un d'eux veuillez me le faire savoir au plus vite, ce n'est pas au moment critique, qu'il faudras nous en rendre compte, autant prendre les devants.

Il se laissa aller en arrière sur son siège et observait les deux Amiraux, d'un regard ferme ne reflétant en rien ce qu'il pouvait bien penser.

Nous connaissons tous nos hommes monsieur, et je peux vous assurez qu'ils sont bien plus fidèles à nous qu'aux autres.

Et comme vous avez notre fidélité, vous avez celle de tous nos hommes.

Nous procèderons à une vérification complète de nos vaisseaux et nous vous signalerons le moindre problème.

Weolyn leur souris franchement:

Bien messieurs, j'espérais cette réponse, mais il me fallait savoir, car nous devons rester prudent.
Autre chose, j'aimerai que nos titre ne soient emprunter qu'en cas d'alerte ou pour des missions officielles, sinon j'aimerais que nous nous contentions de "Monsieur".

Avez-vous des questions a poser, c'est le moment de voir cela, je me doit encore d'aller organiser les forces sous mon commandement sur Utopia, je n'en ai pas encore eu le temps.

En cas de problème voici la fréquence sur laquelle vous pourrez me contacter, elle est sécurisé et vous aurez un accés direct a mon intercom portable.

Il regarda les deux personnes et leur passa le code de la fréquence.

» Un petit tour d'inspection.