Arrivée tardive de Rüdiger Heinrisch

Enfin était arrivé le jour du départ. Depuis le temps qu'il avait attendu ce moment, il était enfin arrivé. Il y avait eu des soucis au démarrage de sa navette, le jour J, et après son décollage, elle avait du atterrir en urgence dans une ville-dôme de France, alors que les autres navettes rejoignaient déjà Utopia. Ce jour là, chaque personne qui s'était retrouvé sur le passage de Rüdiger Heinrisch s'était faite remballer méchamment par l'ex conseiller du roi du Danemark, dont la réputation n'était plus à faire. Il avait maudit les membres de l'équipage, qui avaient été inaptes à réparer instantanément, et en vol, les dégâts subits lors du décollage. Quand il avait appris qu'il devrait atterrir une nouvelle fois sur terre, il était entré dans une rage folle, et s'était isolé dans sa cabine, pour le bien de tous... Il savait qu'il raterait les premiers événements sur le vaisseau salvateur de l'humanité, et ça le contrariait très fortement. Mais il savait que malgré son absence, sa côte de popularité auprès de ses anciens alliés terriens ne baisserait pas là haut dans l'espace, et la Foi chrétienne de ses partisans resterait vive dans leur coeur. Il avait donc fini, à contrecoeur, par accepter son sort, et le retard que cet incident avait engendré.

Quelques semaines après, tout était de nouveau opérationnel et il put monter à bord de la navette qui le mènerait vers Utopia 1. Enfin il allait accéder à ce vaisseau tant convoité par le reste de l'humanité... Il était en ce jour de meilleure humeur, et il embarqua dans la navette avec un sourire au lèvres. Ses yeux clairs et perçants se dirigèrent vers le pilote de l'engin, à qui il prononça les mots suivants, d'une voix teintée de sarcasme...

« Ne le loupez pas, celui-ci, ou je crains pour votre avenir... »

Il était ensuite allé s'installer à sa place, sur son siège, jetant un dernier regard à la planète qu'il quittait à jamais. Il fit un dernier signe de croix en voyant le sol qui l'avait vu naître, et récita intérieurement une courte prière au Dieu qui le protégeait et veillait sur sa carrière riche en événements importants. La navette décolla sans aucun problème cette fois, et Rüdiger se laissa porter vers l'espace inconnu... Il savoura cette sensation d'élévation, autant physique que psychique. Il avait l'impression de revivre l'ascension du Christ décrite dans la Bible, et son âme n'en serait que mieux pardonnée... Car elle devrait être pardonnée. Malgré son métier de prêtre et sa Foi ardente, Rüdiger avait un coeur noir et des ambitions dévorantes. Il était prêt à tout pour réussir sa vie, dut-il passer par des moyens détournés, la manipulation, les mensonges... Mais après tout, n'était-ce pas ce que chaque grand évêque, cardinal ou même Pape avait fait pour accéder à leur prestigieuse fonction... Être un représentant de Dieu suffisait, pour lui, à pardonner les péchés commis...

Le voyage ne lui sembla pas très long, puisqu'il s'endormit, bercé par le doux ronronnement des réacteurs puissants. La navette atterrit dans l'astroport, et quand les portes s'ouvrirent, il était le premier à se présenter à la sortie, d'un air conquérant.

« Nouveau monde, me voilà... »

Avec un sourire hautain, il descendit de l'engin pour se faire accueillir par un technicien. La navette, pendant le vol, avait subit quelques avaries. Rien de bien important. Aussitôt, il coupa l'humain sans son discours technique lassant...

« Menez moi à l'Amiral...J'ai à lui parler... »

Bien évidemment, Rüdiger ne savait encore rien de la mystérieuse disparition de l'homme à la tête du vaisseau...

Xanto fit un détour par l'astroport avant d'aller au labo.

** Tiens une navette qui vient d'arrivée ? Bizard... **

Xanto alla voir de qui il s'agisait. Il vit un homme sombre et froid, il s'approcha pour l'acceuillir.

Bonjour et bienvenue, votre arrivé"e et bien tardive, vous avez eu des socis ont dirai, il pencha la tete et regarda le vaisseau...

Je me présente Professeur Xanto, si vous avez besoin de quelques choses pour votre ne serait-ce que pour votre vaisseau ou autre chose vous pourrez trouver mon bureau Zone A.

J'ai cru entendre que vous vouliez voir l'amiral mais j'ai bien peur qu'il ne puisse pas voir rencontrer en ce moment... Xanto ne voullez rien dire au sujet de l'Amiral pour ne pas bousculer l'inviter.

un jeune scientifique qui passait parla interrompit la discussion avec le technicien avant même que celui-ci ait eu le temps de répondre. Le savoir-vivre n'était visiblement pas d'actualité dans le vaisseau... Avec Rüdiger, ça allait devoir changer. l'homme eut néanmoins la politesse de souhaiter au prêtre la bienvenue, ainsi que de se présenter. Mais au lieu d'attendre la répondre de Rüdiger, il embraya directement sur un discour qui ne lui plut pas. Visiblement, ce petit effronté essayait de l'empêcher de voir l'Amiral... D'une voix froide et sèche, il répondit à Xanto:

"Bonjour, mon fils...Tu ne sembles pas savoir qui je suis, je vais donc te le dire... Mon nom est Rüdiger Heinrisch. Je suis un des membres d'honneur de cette expédition, et en tant que tel, il est donc nécessaire que je voies l'amiral immédiatement! Il se dérogera de ses occupations pour moi, je n'en doute à aucun instant... Dites-moi où il est et menez moi à lui!"

Le ton qu'il avait employé n'était pas méchant, mais plutôt autoritaire, sans avoir haussé le ton de sa voix... Il sourit au scientifique, lui prouvant par là qu'il n'avait aucune mauvaise intention à son égard...

A excuser moi mon pere je n'avez pas compris qui vous etiez vous savez ave tout le travail que l'on a a faire et tout le monde qui circule je ne fait pas attention. Encore une fois excusez moi mon pere je ne voulez pas vous vexer.

Pour l'amiral, je ne voudrez pas vous affoler mais il a disparu aisi que le vice amiral donc le rencontrer sera impossible mais je peux vous conseiller d'aller voir le Commandant Skraker Zone B.

Si vous voulez je peux vous accompagner jusqu'au labo pour vous faire visiter car je doit vite retourner travailler, de plus nos hommes sont malades alors si vous pourriez leur faire un sermon sur l'alcool...

Un groupe de soldats arriva a ce moment-là et le sergent les conduisant s'adressa a Heinrisch, avec un salut militaire:

Bonjour monsieur, pourriez-vous vous identifier, et donner le motif de votre visite, contrôle obligatoire.

Les Soldats étaient tous armer de paralysant et les tenais prêt a l'emploi.

** Mais franchement Messieurs ne voyiez vous pas qu'il s'agit d'un homme d'église ! Il n'est pas dangereux ! Je ne voulez pas le foulliez aussi ? c'est vraiment honteux... ** il pensa tellement fort que sa voix sorta de sa bouche et se laissa entendre

Je sais que vous faites votre travail, qu'il s'agit de formalité et qu'il y a des tension du faites de la disparition de l'amiral mais vous ne faites peur avec vos "outils" et vous allez choquez notre pretre...

Pourriez vous lplutot e conduire au bureau de l'amiral Faren et lui expliquer la situation car je le ferait bien mais si votre controle dure longtemps je n'aurez pas le temps de le faire...

Xanto se tourna vers Rudiger

Maintenant je vais devoir y aller,veuillez m'excusez, j'ai était ravis de vous avoir rencontrer et si vous pourriez faire ce que je vous ai dit a propos de l'alcool cela serait d'une aide précieuse...

Il se tourna enfin vers les militaires.

Si tout est bon puis-je me retirer ?

Le Sergent fit signe a XantoPF, qu'il pouvait se retirer, mais il n'avait nulle intention de laisser passer Heinrisch avant d'avoir fait son devoir, et de l'avoir contrôler, comme il en avait les ordres.

Toutes personnes voulant quitter ou rejoindre Utopia devait en passer par là, les ordres étaient clairs, et pas question de se faire chopper a ne pas les respecter.

La sécurité d'Utopia était le travail des militaires, et ce Sergent comptait bien faire son travail.

Désolé, mais les ordres sont formelle, pas question de laisser quitter ou rejoindre Utopia sans avoir passer le contrôle.

D'accord, je comprend trés bien.

Xanto regarda sa montre digital incruster dans sa combinaison.

** Au pinaise je vais etre en retard ! **

Le jeune scientifique présenta alors ses plus plates excuses à Rüdiger, lui apprenant en même temps la disparition de l'Amiral dirigeant le vaisseau, à sa grande surprise. Cela ne paraissait pas plus gêner le dénommé Xanto, alors qu'il en allait d'une réelle affaire d'état, et conseilla au prêtre de faire un sermon sur l'alcoolisme...

**Et ça, c'ets l'élite de la planète? Des déchets alcooliques qui ne savent pas faire attention à leur supérieur...**

A cet instant, des pas pressés se firent entendre, et une troupe de militaires armé de pistolets paralysants fit irruption dans la pièce, cernant Rüdiger en un instant, alors qu'il les regardait suspicieusement. un sergent se présenta à lui et lui posa quelques question. Le scientifique ne lui laissa même pas le temps de répondre et prit sa défence.

**Hmmm... Malgré son impolitesse sans limitte, ce petit à a du bon...Il a du cran...**

Alors que Xanto avait finit sa plaidoirie, le prêtre posa la main sur son épaule en lui disant d'une voix bienveillante, tout à fait artificielle, mais qui semblait sincère.

"Merci, jeune homme, mais je sais me défendre tout seul. Retournez donc à vos microscopes..."

Il se tourna ensuite vers le militaire. Son air se fit à nouveau froid, et son ton glacial.

"Monsieur, je vois là votre incompétence à reconnaître une des cent navettes ayant été lancées en Sicile dans le plus grand secret... Soit... Vous, militaires, ne savez pas grand chose d'autre que ce qu'on vous dit. Sachez néanmoins que je suis un des membres d'élite de ce vaisseau, et que quelques soucis techniques m'ont retardé dans mon arrivée... Puisque je ne pourrai y découdre, je vous donne mon nom. Je suis Rüdiger Heinrisch, prêtre catholique, conseiller personnel de sa majesté le roi du Danemark, membre d'honneur de cette expédition et choisi parmi les plus grand pour y participer. Renvoyez vos hommes maintenant, ils ne sont plus nécessaires... Et indiquez-moi la personne qui dirige Utopia 1...J'ai à lui parler!"

Le Sergent après la réponse de Heinrisch :

Merci, veuillez patienter un instant, Monsieur.

Il se mit en communication avec les bureaux de recensement afin de contrôler les dires de Heinrisch, et une fois cela fait et la réponse reçue :

Père Heinrisch, Je vais contacter mon supérieur, afin qu’il vous reçoive, c’est en ce moment lui qui dirige plus ou moins Utopia.

Un soldat avait entre-temps passer au détecteur Heinrisch, et se préparais a en faire autant avec ses bagages.

Le Sergent quand a lui contacta Weolyn et reçu l’ordre de faire accompagner Heinrisch au bureau de Weolyn.

Bien messieurs a bientot, je vous laiissez.

Mon pere j'espere vous revoir bientot, passez donc me voir au labo un de ces jours.

Xanto se hata en direction du labo.

Atation, le méchant MJ va être très chiant Very Happy

Alors je ne sais pas si c'est une erreur de ma part ou non, mais les listes de Utopia1 sont pleines, et donc il n'est autorisé aucune arrivée.

Donc, comme j'étais abscent cet aprèm, je n'ai pas pu vous arrêter avant que vous postiez 50 milles messages (ce qui n'est absolument pas un reproche ^^), et donc vous dire que vous ne pouviez pas.

Donc on va dire que il y a eu une erreur dans le listing et que, effectivement, il manquait une personne, donc Rüdiger Heinrisch, qui avait eu des problèmes techniques.

Je vais poster avec PNJ's à la suite pour vous remettre dans la situation.

Et j'aimerais que Rüdiger Heinrisch, n'écrives plus en violet (qui, de plus, est une couleur horrible^^), puisque je trouve que ça gêne énormément la visibilité des postes et "arrache" les yeux lorsque on lit.
Donc j'aimerais que tu écrives, comme tout le monde, pour ne pas mettre quelqu'un au dessus des autres par la couleur, en jaune, s'il te plaît (à la limite, le gras est toléré^^)

Je vous remercie.

Le système du recensement contacta Weolyn :

Monsieur, nous sommes désolés de cette erreur, mais nos calculs sur le recensement étaient faux : il nous manquait une personne : Mr Rüdiger Heinrisch.
Il avait eu un petit problème technique sur terre, ce qui a retardé son arrivée, et un de nos agent l'a compté comme présent sur Utopia1.

Je peux vous assurer que j'ai averti cet agent de cette faute, il fera en sorte qu'elle ne se reproduise plus dans son travail.

[ HJ: Oki, désolé, je me garderai mon violet! Désolé pour le reste, je savais pas je ne recommencerai plus^^ /HJ]

Le petit scientifique partit vers ses laboratoires avec la certitude que le prêtre passerait s'occuper de ces alcooliques dont il lui avait parlé.

**Tant mieux, il me fait confiance, et elle en sera récompensée... Et ça servira de leçon à ceux qui ne m'accordent pas leur confiance...Eux n'auront rien!**

Le sergent demanda alors à Rüdiger de patienter un instant, ce qu'il fit sans broncher, pestant tout de même intérieurement sur ces lourdeurs administratives, qu'il comprenait, mais pas sur sa personne... Il acquiesca de la tête quand le soldat dit qu'il allait contacter son supérieur. Il se laissa fouiller, de mauvais gré. Que voulaient-ils qu'un prêtre apporte comme arme? Il attendit la réponse sans rien dire, jetant juste un regard glacial aux militaires qui le cernaient.

Tout ayant été consciencieusement passer au détecteur, le soldat fit signe a son Sergent que tout était en règle, et celui-ci s’adressa a Heinrisch :

Veuillez, excuser ce contretemps père Heinrisch, mais les ordres sont les ordres.
Je vais vous faire accompagner aux quartiers du Chef Weolyn, c’est lui qui vous accueillera en l’absence d’autres supérieures.

Faisant signe a un des soldats, qui avança rapidement, avec un:

A vos ordres, Sergent !

Veuillez accompagner le Père Heinrisch, aux quartiers du Chef Weolyn, il l’attend !

Bien Sergent !

Le soldat attendit ensuite patiemment que Heinrisch montre signe de le suivre.
Le Sergent salua militairement le père, avant de se déplacer afin de lui laisser le passage.

Le père Heinrisch accepta les excuses du militaire d'un hochement bienveillant de la tête. Sa religion enseignait le pardon, il fallait bien qu'il montre un peu de temps en temps de pitié, même si intérieurement, il se fichait des excuses de l'homme, qu'il aurait oublié aussitôt qu'il aurait tourné le dos. Les gens de peu d'importance ne méritaient pas qu'on se souvienne d'eux... Même si la diplomatie enseignait de se montrer bienveillant avec eux, afin d'affirmer le vif sentiment chrétien qui unissait désormais la plupart des hommes. Rüdiger profitait pleinement de ce système d'hypocrisie et de pensées masquées.

"Je vous suis, menez moi à lui..."

Il répondit au salut militaire du sergent par un nouveau hochement de la tête. Au moins celui-ci avait compri qui j'étais et qu'il valait mieux être dans mon camp... Il prit ensuite la marche aux suites du soldat vers le bureau de ce Weolyn, soi-disant chef en l'absence des deux autres...

Le soldat fit demi-tour et partis en direction des quartiers militaires, en s'assurant que Heinrisch, suivais bien.

Il ne leur fallu pas longtemps avant de tomber sur le poste de contrôle qui se trouvait a l'entrée des quartiers militaires.
Accompagner par un militaire, qu'ils connaissais les gardes laissèrent passer les deux personnes et sans être plus déranger, ils arrivèrent devant les quartiers de Weolyn.

(((Suite dans les quartiers militaires.)))

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