Bureau d'Agrael

Agrael attendit que que Oromis soit sorti.

Par radio :

"Envoyez deux équipes de techniciens au labo n°3 et apportez moi l'ordinateur de l'ancien vice Amiral."

Agrael se cala dans son siège.

*bon ils arrivent quand mes trois hommes.*

Les trois intéressés acceptèrent volontier l'invitation de leur supérieur et s'installèrent confortablement. Tous échangeaient un regard espiègle et amical. Tout semblait réellement bien se passer.
C'est monsieur Firman qui commença à parler d'une voix assurée:

_ Pour ce qui est du moral, il n'y a rien à y redire! Tout ce passe très bien, les différentes équipes sont totalement soudées et notre politique de fléxibilité donne de bons résultats.

Il regarda ses collègues pour voir s'il ne parlait pas trop vite, mais tous opinèrent.

_ En ce qui concerne les problèmes techniques, la seule chose alarmante c'est que tout va! Hahaha... C'est comme si on ne servait à rien, ce bijou de technologie répare par lui même les problèmes qui surviennent, nous ne faisons que vérifier, mais RAS de ce côté aussi. Tous les signals sont donc au vert!

On est tombé sur un os monsieur !

L'ordinateur ne veut rien savoir et un virus nous a attaquer, on a un homme blessé, le virus a court circuit l'alimentation ce qui l'a électrocuté et brûler...

On avons pus sauver des données mais elles sont cryptés, verrouiller et plus que sécurisé, nous ne pouvons rien en tiré...

Et puis...

La radio grisaillait, on entendait plus le technicien parler, il n'avait pas fini son rapport...

L'homme marqua une pose, il semblait vieux et malade.

Vous travailler sur un composant qui vous dépasse n'est ce pas ?

Puis il se retourna, il avait le visage brûlé, on aurait dit une victime d'un accident à un choc électrique. Son visage était comme "fondu".

Méfiez vous de ce composant ! Il pourrait ne mener à votre perte !

Hum... L'homme toussa et pris une grande respiration. J'en ai déjà trop dit...
Il avait l'air inquiet et ne disait plus rien.

Le vieil homme était apeuré et affolé.

Non je ne peux pas rester plus longtemps, il doit me surveiller, m'écouter, m’observer, il est tout proche, je dois fuir...

Je déjà trop parler et j'ai pris énormément de risque...

L'homme sorta en courant, il ne se contrôlais plus...

Malgré la tentative d'aide d'Agreal il était malheureusement trop tard...

Non je ne peut rien dire, cela est trop dangereux.

Agreal insistait fortement.

Mon nom est...

Le vieil homme tomba, la tête la première.

Splatch !!! Il s'éclata la tête au sol, son corps gisait dans une flaque de sang...

Les deux brancards et l'infirmière arrivèrent précipitamment. Les deux hommes transporter le brancard et tout le matériel de soin. L'infirmière quand a elle se faisait porter sur le brancard...

Elle vit Agreal, le technicien supérieur qu'elle avait déjà repérer au paravent... Les regards se croisèrent, elle réajusta son décolleté et lui faisait du charme...

Les deux hommes auscultèrent le vieil homme.

"C'est trop tard désolé, il est mort sur le coup, c'est fini, heure du décès..."

Ils appelèrent la morgue et le service de nettoyage, pendant ce temps l'infirmière essayer de draguer le technicien.

Nos chemins se recroisent on dirai, dit elle avec une voix sensuelle, elle s'approcha doucement d'Agreal.

Vous êtes vraiment charmant, vous l'avons déjà dit ? Elle approcha sa main vers son col et se resserra vers lui.

Elle pris un air encore plus sensuelle.

Oooh ouiii j'adorerai ! Quand puis-je passer? Beau gosse...

Elle mis en valeur sa poitrine tout en lui parlant pour le tester...

On vit au fond du couloir arriver un grand homme très maigre et courbet. C’était le médecin légiste qui s'occupe de la morgue. On l'appeler l'ange de la mort dans son milieu.

"Un mort ? Très bien je m'en occupe..." Il posa ses longs doigts fins aux ongles noirs sur le corps pour lui fermer les yeux.

L'infirmière attendit que tout le monde soit repartit pour être seul avec Agreal...

Elle se tourna vers les brancards :

C’est bon vous pouvez y aller les garçons, je doit réglé quelque chose ave monsieur. Nous avons des papiers a remplir...

Les brancards partir sans rien dire avec l'ange de la mort, ils transportèrent le corps et partir.

Dans une heure.

Agrael leva les yeux au ciel.

Mais j'ai du travail, il se pencha vers son oreille et d'une douce et basse voix à dans une heure ma belle.

Puis il parta vers son bureau.

Tout le monde était partit, il ne rester plus qu'Agreal et sa douce...

Oh oui beau gosse prend moi dans tes bras !!

L'infirmière enlaça Agreal de force et tenta de l'embrasser...

Agrael l'embressa longuement, puis...

Ha dans une heure...ma belle !

Puis il se dirigea vers son bureau.

*elle est bien belle mais j'ai du boulot moi*